LES ENFANTS DU DIABLE "Se balancer c'est rester en mouvement, rester en mouvement c'est vivre". Tiré d'une histoire vraie Coup de coeur "Dauphiné libéré", "La Provence", "France Info Culture". « Un texte particulièrement fort et une interprétation magistrale sur fond d’une histoire bouleversante et bien réelle » Bucarest, 2009. 20 ans après la chute des Ceau?escu. Plongés dans l'intimité du salon de Niki, "Les Enfants du Diable" dévoile l'histoire d’une fratrie au passé douloureux, marqué par la dictature. Lui a grandi dans les orphelinats "mouroirs". Sa soeur, Veronica, a été adoptée par des Français et est devenue une vedette de la chanson. 20 ans qu’ils ne se sont pas vus, comment vont se passer les retrouvailles ? Une nuit c’est court pour réparer une vie ; une nuit c’est cruel à l'égal du temps qui passe. Une nuit pour retrouver de l’humanité à un monde qui semble souvent les avoir abandonnés. Chaque dialogue est une invitation à rire, pleurer, s’indigner, et toujours rester en mouvement « Se balancer, c’est rester en mouvement, rester en mouvement, c’est vivre » Une pièce bouleversante qui interroge sur les séquelles du passé et leurs conséquences sur notre avenir. Cette oeuvre, inspirée d’une histoire vraie, et interprétée par deux magnifiques comédiens, ne vous laissera pas indifférent. Auteur : Clémence Baron Mise en scène : Patrick Zard' Distribution : Clémence Baron et Antoine Cafaro Durée : 1h10